Le problème des stages non rémunérés
Nous connaissons bien l’archétype des stagiaires non rémunéré.e.s. Ils et elles passent leurs journées à chercher du café et à faire le travail que personne ne veut faire, tout en recevant peu ou pas de reconnaissance de la part du personnel à temps plein. Cela se justifie par le fait que c’est un moyen de « mettre un pied dans la porte » et d’acquérir une expérience du secteur qui, espérons-le, mènera à une carrière réussie. Mais en réfléchissant de manière critique aux stages non rémunérés, nous pouvons constater qu’ils sont dépassés et exploitants.